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Psychologie et santé mentale

Baisse de moral, comment y remédier ? 

Il existe des périodes dans l’année où le moral n’est pas au beau fixe, et c’est normal. L’arrivée de l’hiver et la tombée du froid, par exemple, ou bien un événement négatif qui s’est passé parmi vos proches peut vite vous faire perdre toute votre bonne humeur. Il n’y a pas de mal à avoir une baisse de moral. Avec cette baisse de moral vient souvent une grande fatigue. Mais alors, comment reprendre des forces ? Comment retrouver cette énergie perdue ?

Les aliments pour retrouver son énergie perdue

Retrouver son énergie veut généralement aussi dire retrouver son moral. En effet, plus vous aurez de l’énergie pour faire des choses, plus votre moral sera à la hausse. Voici donc quelques aliments et astuces pour vous aider à trouver votre moral et votre énergie en un rien de temps !

Premièrement, vous pouvez manger de nombreux fruits tels que :

  • Le raisin
  • Le cassis
  • La pastèque

Grâce à un maximum d’apports vitaminés, votre corps ainsi que votre esprit  seront revigorés. Pensez donc à en consommer un maximum ! Les agrumes sont également vos amis, et aident en cas de coup de mou dans la journée. Le jus de citron est aussi très bon pour le moral, en plus d’être riche en antioxydants, double avantage !

Pourquoi ne pas essayer les capsules de vitamines ? 

Peu communes, les capsules de vitamines peuvent pourtant faire des miracles. Elles sont riches en vitamines provenant de nombreux fruits et légumes, qui vous donnent un boost d’énergie considérable. Grâce aux capsules, vous avez uniquement le meilleur de ce qu’ils ont à vous offrir. Cela complètera donc bien ce que vous avez dans votre assiette et contribue fortement à votre moral. 

Éviter le sucre et le café

Contrairement à ce que l’on pourrait penser, boire une boisson sucrée, un café ou manger un biscuit ne va en rien améliorer votre énergie. En effet, le sucre et la caféine donnent plus d’énergie les premières minutes, mais ils ne sont pas efficaces dans la durée. Vous aurez d’autant plus besoin d’en reprendre une fois le pic retombé. L’effet est alors inverse et ne vous aidera en rien à vous remonter le moral !

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Approches complémentaires pour soutenir l’énergie au quotidien

Au-delà de l’alimentation, pensez à agir sur les routines qui régulent naturellement votre vitalité : l’équilibre du rythme circadien, la qualité du sommeil et une bonne hydratation sont des piliers souvent négligés. Favoriser un rythme veille-sommeil régulier, limiter l’exposition aux écrans le soir et adopter des respirations lentes et profondes (respiration diaphragmatique) aident la synthèse des neurotransmetteurs impliqués dans l’humeur, comme la sérotonine. Intégrer chaque jour une activité physique modérée — marche, étirements, séances courtes de mobilité — stimule la circulation, améliore la récupération et contribue à la réduction de l’inflammation chronique qui peut peser sur l’énergie.

Enfin, explorez des leviers moins évidents mais efficaces : soutenir l’axe intestin-cerveau avec des aliments riches en prébiotiques et probiotiques favorise une flore équilibrée, essentielle à la production de certains neuro-modulateurs. Les apports en micro-nutriments et oligo-éléments, comme le fer, le magnésium et les acides gras essentiels, participent aussi au maintien d’un bon profil énergétique sans remplacer une alimentation variée. Pour des conseils pratiques et des pistes de suivi adaptées à votre quotidien, vous pouvez consulter des ressources spécialisées — à consulter sur objectif-mieux-etre.fr — qui proposent des routines de bien-être, des fiches sur l’hygiène de vie et des stratégies de gestion du stress, complémentaires aux astuces alimentaires évoquées dans l’article.

Techniques complémentaires pour stabiliser l’énergie sur le long terme

Au-delà des conseils alimentaires et des routines de base, il existe des approches ciblées qui aident à maintenir une vitalité durable et à prévenir les rechutes de moral. L’exposition régulière à la lumière du jour, ou la photothérapie, chronobiologie, neuroplasticité appliquée à votre rythme quotidien, favorise une meilleure synchronisation des cycles biologiques et renforce la capacité du cerveau à s’adapter. Intégrer des micro-pauses actives — courtes marches, étirements progressifs ou exercices de mobilité faciale — stimule la circulation, augmente l’apport d’oxygène au système nerveux et facilite l’éveil cognitif sans recourir aux excitants. Pensez aussi à varier les stimulations sensorielles : musique rythmée, aromathérapie légère ou changement d’environnement pour casser la monotonie et relancer la motivation.

Sur le plan émotionnel et neurophysiologique, des pratiques simples comme la cohérence cardiaque, la respiration rythmée et la mise en place de petits défis d’apprentissage contribuent à renforcer la résilience et la capacité de récupération. L’introduction progressive de compléments ciblés (sous avis médical) et le maintien d’un bon équilibre électrolytique complètent l’action alimentaire sans les remplacer. Enfin, combinez ces outils à une démarche de suivi et d’évaluation de vos habitudes pour ajuster les leviers réellement efficaces dans votre quotidien. Pour des fiches pratiques, des protocoles détaillés et des pistes d’accompagnement pour pérenniser ces changements, retrouvez des ressources et des routines à consulter sur objectif-mieux-etre.fr

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Stratégies pratiques et peu connues pour réguler votre vitalité

Au-delà des recommandations déjà évoquées, certaines approches ciblées peuvent améliorer durablement la sensation d’énergie en agissant sur le métabolisme et la récupération cellulaire. Pensez par exemple au travail sur la gestion de la glycémie via un index glycémique maîtrisé : privilégier des collations à libération lente ou associer protéines et fibres permet de stabiliser le taux de glucose et d’économiser le stock de glycogène, limitant ainsi les pics et chutes d’énergie. Stimuler la fonction des mitochondries passe aussi par des apports réguliers en nutriments favorisant la bioénergétique (acides aminés, antioxydants spécifiques, cofacteurs enzymatiques) et par des micro-efforts physiques qui activent la biogenèse mitochondriale sans surcharger l’organisme. Pour certaines personnes, l’introduction maîtrisée d’une pratique de jeûne court ou de restriction temporelle des repas améliore l’adaptation métabolique et la clarté mentale : il s’agit d’outils à tester progressivement et, si besoin, avec un accompagnement professionnel.

Sur le plan quotidien, des micro-habitudes simples renforcent l’effet de ces leviers métaboliques : une micro-sieste de 10 à 20 minutes en début d’après-midi peut restaurer la vigilance sans perturber la nuit, tandis que des pauses cognitives basées sur des exercices d’activation (rapidité visuo-motrice, stimulation sensorielle douce) relancent la production de neurotransmetteurs comme la dopamine, moteur de la motivation. L’intégration de protocoles progressifs d’endurance courte et d’exercices de résistance douce favorise l’endurance et la résilience musculaire, éléments clés pour maintenir un niveau d’énergie stable.

Nouvelles pistes pour optimiser la récupération et la vitalité

En complément des approches déjà évoquées, certaines stratégies moins communes agissent sur des mécanismes biologiques profonds et méritent d’être testées progressivement. Favoriser la vidange des déchets neuronaux pendant la nuit en optimisant la qualité du sommeil aide le système glymphatique à fonctionner correctement : une chambre plus fraîche, une position de sommeil confortable et une hydratation adéquate en soirée peuvent améliorer ce nettoyage physiologique. Par ailleurs, des pratiques courtes d’exposition au froid ou de douche contrastée, intégrées en routine matinale, stimulent la thermorégulation et la vigilance sans recourir aux excitants, tout en favorisant une meilleure circulation périphérique et une récupération parasympathique plus efficace.

Sur le plan cellulaire, l’introduction réfléchie de périodes alimentaires espacées favorise des processus de réparation comme l’autophagie, utile pour la régénération et la réduction du stress oxydatif ; il s’agit d’outils à moduler selon votre tolérance et vos besoins énergétiques. Enfin, des techniques d’expression émotionnelle — écriture expressive, bilan quotidien court ou ritualisation d’un moment de gratitude — réduisent la charge de stress accumulée et l’allostasie délétère, facilitant le retour d’une énergie durable. Ces leviers complémentaires, à articuler avec l’hygiène de vie déjà présentée, offrent une approche intégrée alliant récupération physiologique et régulation émotionnelle.

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